Formé « sur le tas » au métier de flasheur en 1994, il voit l’évolution des définitions et la diminution des pixels au fil des décennies.
Il aime cacher ces derniers derrière de la haute résolution dans ses œuvres composées exclusivement d’empreintes de mains numérisées à grands coup de DPI.
Il apprécie tout particulièrement le fait de devoir utiliser un « compte-fil » pour pouvoir observer sur ses impressions encadrées le fameux pixel, symbole fort de l’art numérique.